un brin de nostalgie

 

 

Tous ces lieux perdus pour l'homme urbain trop pressé, tous ces rires lors de nos fêtes estivales dignes des agapes d'Asterix, où les poulets rôtissaient et la soupe à l'oignon frémissait pendant des heures sur la braise, au son des guitares et des grillons jusqu'au bout de la nuit, pour la plus grande joie des chiens du village. A nos déambulations d'avant l'aube, avec ce petit goût des bonheurs simples, de la vie qui décante doucement, de la vie qui inspire, de la vie qui vibre à l'unisson du ciel et de la Terre, de la vie toujours recommencée...