l'imperceptible...

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J'y goûte à loisir la brise légère,
la marche décidée du décapode,
le vol éphémère de la mésange.
Et voici qu'au prisme de la rosée,
pour le salut à l'astre triomphant,
avant de rentrer dans ma thébaïde,
je hume une dernière fois l'âme du monde...








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