Edward Hopper


Qui avait peur, à l'aube de la photographie, que le monde de la peinture allait s'éteindre ? Je ne sais plus, mais ce monde depuis n'a jamais été aussi florissant, cherchant tout azimut de nouvelles voies, de nouveaux mondes à explorer...




Il est des peintres qui surent rendre témoignage de leur époque, et parmi eux Edward Hopper, dont les oeuvres sont autant de pièces précieuses pour historiens et sociologues. Francophile, il séjourna à Paris et s'essaya à nombre de techniques. Ses tableaux nous transportent dans une amérique intimiste, où les personnages semblent plongés dans une solitude mélancolique.






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2 comments

cybione a dit…

Ces peinture me rappellent bizarrement celles de Norman Rockwell.
Leur atmosphère est pourtant aux antipodes...

13 mai 2009 à 22:11
Cratès a dit…

Oui, j'ai la même impression malgré le style totalement différent. Leur époque est commune aux deux, mais je trouve Hooper le peintre d'une amérique solitaire, désabusée, et rockwell une amérique plus Familiale, communautaire.
Merci de ta visite Cybione
@+

13 mai 2009 à 23:00