"Marcher lui permettait de réfléchir.
Et c'était encore mieux,
quand personne n'était là pour le distraire.
Promeneur solitaire ...
Ne pas parler favorisait le discours de l'âme.
Et tout prenait son sens.
Son âme déambulait,
en cadence avec ses pas.
Et elle le transportait,
là où personne avant lui n'était allé.
Rêveries ou promenades solitaires.
Qu'importe.
Le voyage était pour lui un peu comme un retour vers l'essentiel
dans un monde qui privilégiait le superflu."
Jordan Ray.
Votre serviteur, août 2018
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